Draine cet alim !

J'ai eu la frousse ce week-end : mon portable HP série dv6000 ne voulait plus charger la batterie. J'ai essayé de le supplier, mais rien à faire : il me donnait constamment de sa LED bleue clignotante. Et ça, c'est, comment dire, mauvais. Cela veut dire que la batterie doit être remplacée.
Dieux du ciel, cette batterie avait moins d'un an ! Nous sommes au 21ème siècle ! Ces trucs on été inventés au 19ème ! Et ils sont toujours incapables de les faire fonctionner correctement ?
C'est à ce moment-là que je me suis souvenu d'une procédure dont m'avait parlé quelqu'un du Support Technique HP il y a environ 9 mois : Le Drainage de l'Alimentation (tm). Oui, croyez-le ou non, il y a un moyen de drainer le reste de courant pouvant subsister dans votre portable HP...
Le drainage se passe comme suit : déconnectez l'alimentation, enlevez la batterie, et appuyez sur le bouton marche-arrêt pendant 20s ou plus (la premère fois qu'HP m'a fait faire celà, j'ai cru que c'était une blague !).
J'ai essayé ça cette fois-ci. J'ai ensuite replacé la batterie dans son compartiment, rebranché l'alimentation, et voilà ! le portable s'est remis à charger la batterie. Tout semble fonctionner de nouveau.
Maintenant, allez comprendre pourquoi ce drainage fut nécessaire...

Les applications sur Mac OS X

A une époque, j'étais un grand fan d'Apple. Ma première machine Apple était un Apple II (car le Mac coûtait trop cher en ce temps-là). J'ai fini par avoir un Mac LC, just après ce quai-inconnu d'Apple IIGS (qui était un Apple II aux allures de Mac --il avait une souris et même QuickDraw). Puis, au bureau, tout le monde avait un Mac. Il y avait aussi un ou deux PC qui traînaient.

Et un jour, il a fally que je compile un truc sur un de ces PC (il faisait tourner NT 3.51beta à l'époque). Et, ô mon dieu, la compilation de ce programme en C n'a pris que auelques secondes. Pourquoi fallait-il 10 minutes sur mon Mac ? C'était une raison suffisante pour mon divorce, Votre Honneur. Windows allait devenir mon amour, et l'est resté.

Avance rapide vers 2007. J'utilise toujours des systèmes Windows au travail (XP SP2). J'utilise toujours des systèmes Windows chez nous (nous avons un Media Center, un portable avec XP, et un autre avec Vista). Et la vie est merveilleuse. Mais... pour une raison que j'ignore (rien de nouveau précu à l'horizon ? les nouveaux iMac ?), je recommence à m'intéresser aux Mac, ainsi qu'à OS X pour la première fois en quelques années. J'essaie même de trouver de bonnes raisons pour en acherer un. Alors voici une chose que j'ai découverte très récemment, en ayant visionné une bonne démonstration de Mac OS X Tiger (grâce à Google Video, bien que la vidéo en question ne soit plus disponible aujourd'hui, allez savoir pourquoi) : gérer des applications sur le Mac est bien plus naturel que sous Windows !

Une application s'installe en général en lançant un "package" (ceci est similaire à ce que vous Windows propose avec le Windows Installer). Une fois l'application installée, on la trouve dans le dossier Applications. Il est possible de créer des alias (raccourcis dans le monde Windows) que l'on peut placer n'importe où (y compris dans le Dock) pour lancer cette application. Supprimer ces alias ne supprime pas l'application (comme sur Windows).
Il est aussi possible de déplacer l'application depuis le dossier Applications vers n'importe quel autre endroit, et ses alias seront toujours valides. Pour supprimer une application, il suffit de la mettre à la corbeille. Dans toute cette description, on remarque une chose en particulier : une application est matérialisée par un seul fichier.
Sous Windows, une application est composée en général de plusieurs fichiers : un exécutable, quelques DLL, et plus (y compris quelques entrées dans le registre). Sur le Mac, il ne s'agit que d'un fichier. Ce qui veut dire qu'il est bien plus difficile pour les utillisateurs de tout casser.

J'ai alors commencé à réfléchir : comment peut-il y avoir un seul fichier ? Sur Windows, avec .net, on a quelque chose de très similaire : pas besoin d'entrées dans le registre, et un exécutable ou une DLL peut contenir un certain nombre de ressources (c'est-à-dire d'autres fichiers, comme des icônes ou du texte), ce qui veut dire qu'une installation revient simplement à copier ces fichiers, et donc ils peuvent a priori être déplacés sans incidence. Mais c'est toujours un ensemble de fichiers (ne serait-ce que pour des raisons pratiques pour les développeurs).

Alors, comment font-ils sur le Mac ? Soit c'est la même chose qu'avec .net, à l'extrême (un fichier contient tout), soit c'est le Finder qui nous abuse... Cet article m'a fourni la solution : oui, le Finder nous cache la vérité. Et il le fait très bien.

VS 2005 veut vraiment cette mise à jour

11 septembre 2007. Allez sur Windows Update. Installez toutes les mises à jour. Elles s'installent toutes avec succès. Retournez sur Windows Update. Vous verrez encore "Mise à jour de sécurité pour Microsoft Visual Studio 2005 Service Pack 1 (KB937061)". Installez la mise à jour. Elle s'installe avec succès. Retournez sur Windows Update. Vous verrez encore "Mise à jour de sécurité pour Microsoft Visual Studio 2005 Service Pack 1 (KB937061)". etc. etc.
Pas besoin de revoir Un Jour Sans Fin.

[Mise à jour] Voir ce flux sur le forum VS de Microsoft. Pas de solution pour l'instant, si ce n'est installer CrystalReports.

[Mise à jour 2] 14 septembre. Microsoft a maintenant résolu le problème.

Apple Expo Paris 2007

L'Apple Expo 2007 ouvrira ses portes le 25 septembre. Le prix de l'entrée est de 12 €, mais vous pouvez obtenir un badge ici vous permettant d'y aller sans limite (et gratuitement).

Traduction live

Vous connaissiez déjà le service de traduction en ligne de Google ? Eh bien, Microsoft viens de lancer le sien : Windows Live Translator. Ce qui est intéressant avec ce dernier, c'est qu'il permet de voir à la fois le texte original et sa traduction l'un à côté de l'autre (et ceci est valable aussi pour les pages web). Comme pour celui de Google cepandant, les textes faisant partie d'images ne sont pas traduits (çà je peux l'admettre), mais le texte ne pouvant être traduit est laissé en l'état, sans indication particulière.
Par défaut, Windows Live Translator passe par Systran pour les traductions, mais si vous cochez la case "Computer-related content", Microsoft utilise son propre système...

Manger des trucs secrets

In-n-out est une chaîne de hamburgers très connue aux Etats-Unis, qui est fière de ne proposer qu'un menu très simple (un hamburger-des frites-une boisson). Ce n'est pas une chaîne aussi grosse que, par exemple, McDonald's, mais Votre Serviteur a fini par bin aimer ces hamburgers peu chers et simples (et en particulier leur sauce). McDonald's et les autres sont descendus dans mon estime l'âge aidant (ne parlons pas de sénilité aujourd'hui).
Badmouth nous donne tous les détails d'un menu secret qu'In-n-out proposerait...

Onglets, arbres, fenêtres... Ne commencez pas...

Jeff Atwood, du maintenant connu Coding Horror n'aime pas trop les onglets dans les interfaces utilisateur. Ne commencez pas : non seulement je n'aime pas trop les onglets (et le mot est bien faible), mais je n'aime pas les arbres d'exploration, ou même les fenêtres.
Pourquoi ? me demanderiez-vous. Eh bien je vous répondrai, la raison pour laquelle je n'aime pas ces éléments d'interface est simple : il faut constamment s'en occuper, passer d'un truc à l'autre pour finir par voir ce qui nous intéresse, utiliser le clavier prend une éternité, ce qui fait que tout doit être fait à la souris (envers laquelle je n'ai aucune animosité, merci beaucoup).
Etendre, refermer, déplacer en haut, en bas, retailler, minimiser, changer de fenêtre... Aaarrggh... Ma vie en peu de mots...

Ca m'a pris du temps...

Bon, ça m'a pris un certain temps de démarrer ce blog. Plusieurs essais (mentaux). Plusieurs avortements (mentaux). La volonté était bien là, mais cela semblait vraiment trop d'effort.
Mais cette fois-ci, je m'ennuyais tellement au travail, je me suis dis, allez, préparons au moins les modèles pour le blog, et quand je m'ennuierai à nouveau, je pourrai y ajouter quelque chose.
Eh bien, incroyable mais vrai, j'ai décidé de me lancer. Voilà. Vous y voilà, cher futur lecteur. J'essaierai de ne pas vous décevoir.
Bienvenue.